Puno, ville d’entrée du lac Titicaca
On profite des paysages péruviens, confortablement installés dans le bus Cruz del Sur. Petites couvertures, sièges inclinables, mais ça ne vaut toujours pas Palomino, la meilleure compagnie de bus péruvienne à nos yeux.
Petite ville posée à 3800 m, sur la rive ouest du lac Titicaca. Plusieurs rues piétonnes dans le centre, ce qui rend la balade plus sympathique et à taille humaine.
Notre arrivée à l’hôtel avec les gros sacs, 1,4km de marche depuis la gare routière. Cela nous a permis un premier aperçu de la ville.
Nous n’y passerons qu’une après-midi de visite, pour profiter des alentours (Sillusatani) et des îles Uros sur le lac Titicaca. Nous découvrons l’art péruviens dans les galeries d’art des rues touristiques.
Nous parcourons ses rues animées en soirée des quartiers plus populaires, avec ses marchés sous les halles ou bien en pleine rue, au milieu de la circulation…
Comme toute ville péruvienne qui se respecte, elle a sa place des armes, avec sa cathédrale. Sa forme actuelle date de 1668 quand le vice-roi, le comte de Lémos, fonda la villa Notre Dame de la Conception et San Carlos de Puno. L’emplacement portait alors le nom de Puñuy, paysage de rêve. Aujourd’hui le centre de la place est occupé par la statue du colonel Bolognesi, le héros péruvien de la bataille de Arica qui eut lieu durant la guerre avec le Chili.
La cathédrale date du 18e, avec une façade en pierres rouges, de style renaissance et baroque et une influence andine bien marquée : pumas, fleurs, oiseaux de la région et colibris.
Se tient également sur la place, le palais de justice, d’un rouge flamboyant ! Difficile de le louper !
Muséo carlos dreyer, peintre allemand qui vécut plus de 30 ans à Puno et créa sa propre collection d’objets incas.
Au RDC, super belles collections d’art pré-incas.
Une section sur les textiles assez intéressantes.
De jolies céramiques.
Au 1er étage des peintures que nous n’avons pas le droit de prendre en photo ! Enrique Masias Portugal (1922), Gustavo Zegarra Villar, Ponce (1927) « chacareros de huaraya », Ernesto Lanzuito, Hector Searaing (20e siècle).
Pour finir salle sur les rites funéraires incas : bijoux en or et… momie ! Assez effrayant comme vision !
Nos repas à Puno.
Le premier soir nous optons pour un restaurant avec spectacles touristiques, joli et traditionnel. Côté assiette un délicieux poulet cuit à la broche, moelleux à souhait, un délice…. Et du cuy ! Du cochon d’inde ! C’est plus fin que le poulet, mais avec beaucoup plus de petits os. Vincent s’en donnera à cœur joie.
Le 2 jour, déjeuner de ceviche. Eh oui c’est notre dernier jour au Pérou et on voulait absolument en remanger une dernière fois, c’est tellement bon ! Et le soir : diner local de salsapapa : frites et saucisses en fines tranches, largement arrosées de mayonnaise te de ketchup. Pas très diététique mais tellement bon.
Coucou de La Baule avec Françoise Que de souvenirs. Avez vous vu le marché fini le pisco! Nous sommes allées au cinéma voir les pépites. Super à faire au Cambodge. Bisous de nous deux.
Bonjour, on a profité du soleil sur la terrasse hier après midi et tout à l’heure, nous irons à la baule à pied par la plage et on a dîné de galettes !
Le 1er message, c’était Béa ! Bises Françoise
Le Pérou vous aura laissé de beaux et bons souvenirs. Bisous. Christine